J’apprends par l’entremise d’un ami que Mr KAB Tahar nous a quitté, hier soir, à la suite « d’une longue maladie ».
Ex-enseignant et maître de français à l’école primaire d’Ait-Bouyahia, Vava Tahar a été un des premiers enseignants de langue française au village.
Je ne connais de lui que ses grandes qualités d’enseignant, son amour de la vie et surtout sa droiture qui en faisait quelqu’un d’exceptionnel.
Aujourd’hui, avec son départ que nous regrettons tous, je rends un vibrant hommage à cet homme pour souligner l’importance du travail qu’il a fait. On lui a confié la tâche la plus difficile, ingrate parfois : celle d’assurer la réussite des élèves.
Je salue sa mémoire pour la mission accomplie avec preuve d’un dévouement exemplaire auprès des élèves et sa contribution, par son professionnalisme, son engagement ainsi que par l’exemple qu’il a donné aux jeunes et à la formation des citoyens de demain. Pour ses efforts constants, son dévouement et cette grande foi en l’avenir qu’il a préparé, je lui dis MERCI et ADIEU!
Repose en paix Vava Tahar.
4 commentaires:
Merci Kamal ! Même si un hommage grand soit-il ne suffisait pas pour honorer la mémoire de ce grand Homme qui a marqué le village de son empreinte indélébile.
Zzi Tahar était pour moi un éducateur, un ami et un exemple de modernité. Il détestait tout ce qui venait de l'"Orient", il était d'une tolérance frisant l'abdication, il avait un sens de l'humour aiguisé.
Les parties de dominos avec Zzi Tahar étaient des moments très agréables, il avait le discours captivant.
Permettez-moi d'utiliser cet espace pour présenter mes condoléances à son fils Cherif que je n'ai pas pu voir lors de l'enterrement à cause du retard qu'il accusé en se déplaçant de France à l'occasion de ce malheur qui a ému tout le village.
Adieu Zzi Tahar. Ton image sera à jamais gravée dans mon esprit.
lah yarhmou.au passage il faut pas oublier son militantisme.merci
le décès de mon père (kab tahar athirham rabbi) est intervenu dans la foulée d'une série funeste de décès (6 au total) qui a frappé le village en moins d'une quinzaine de jours: zzi Ahmed kabouche, mon père, hatem tahar, hamlil kader, mekioussa (je me permets de la nommer) et Abdellah hamdad. Chaque être qui s'éteint laisse, d'une manière ou d'une autre un vide derrière lui. Ath nirham rabbi tous.
Mon père, c'est surtout en tant que père que je l'ai connu. Et à ce titre, il avait son caractère et sa personnalité mais malgré les difficultés de la vie, l'une des plus importantes réussites est sans doute l'éducation qu'il a inculquée à ses 9 enfants.
Mon intervention, sur cette rubrique, n'aurait pas de sens si je ne termine pas par demander à tous ceux qui l'ont connu d'invoquer le Tout Puissant de lui faire miséricorde ainsi qu'à tous nos morts (ath nirham rabbi).
Merci à tous.
Amar.
Mes sincères condoléances à sa famille et paix à son âme.
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