Hommage aux femmes d'Ait-Bouyahia

Elles étaient là et elles sont toujours là.

Nos mères, nos grands-mères, nos sœurs et nos filles : ces femmes. Ces belles femmes qui nous ont tant donnés. Elles nous ont donné l’amour, comme disait Xavier Forneret : « Il y a autant de lettres dans femme que dans amour ».

Je rends hommage aux femmes d’Ait-Bouyahia. Aux femmes rebelles, courageuses et braves. Elles ont battit le village par leur valeureux travail. Elles nous ont nourris, éduqués, et instruits.

Du domaine domestique (Cuisine, taches ménagères, eau...), la récolte et l’élevage de bétail, au travail administratif, à l’enseignement, à la haute technologie…, à la fonction maternelle. Nos femmes, mères et sœurs ont tout fait. Elles l’ont fait et le font bien.

La femme demeure la gardienne de la langue, des rites et des valeurs de la tradition". Makilam, auteure de "Signes et Rituels magiques des femmes kabyles "

« Vous avez tous chanté ma beauté vous avez tous loué mon sens de l'honneur, nul ne s'est, pour autant, soucié de mes droits comme si j'étais un animal. Maintenant que s'ouvrent mes yeux, je vais vous demander des comptes » Paroles d’une très belle chanson de Nouara

Slimane Azem qualifiait la femme de « colonne supportant le poids de la famille »

« Femmes, c’est vous qui tenez entre vos mains le salut du monde » Leon Tolstoï
« L'amour est une mer dont la femme est la rive » V. Hugo

Mes respects et mes hommages aux femmes de mon village.